vendredi 1 janvier 2016

Message à l'apprenti terroriste

Attention coup de gueule avec quelques vilains mots.

Chère petite bite, cher apprenti terroriste mais abruti certifié. Oups, tu ne comprends déjà pas ce bout de phrase. Alors moi parler simple. Toi zéro, toi rien du tout. Et vierges pas du tout, on sait bien que Saint Pierre est un chaud lapin, aucun lien avec les tajines que tu as pu manger dans des restaurants ou dans des familles où la religion était l’islam, mais le vrai, pas cette connerie nihiliste que tu arrives à accepter. Comme dirait notre célèbre philosophe de référence, à nous occidentaux pro-américains, n’est stupide que la stupidité, merci Forrest. Bon bah en gros toi qui éjacule dès qu’une femme refait son lacet et laisse échapper un infime bout de peau, toi qui devant ton incompétence adolescente à exister voue une haine abominable à la femme que tu ne posséderas jamais, tu n’es rien et ne seras jamais rien. Et bon courage même si c’était le cas pour dépuceler 71 vierges. Je ne vais pas être trop pessimiste pour toi, je sais mon côté sympa me perdra, mais en général celles qui restent vierges jusqu’à la mort sont soit les nourrissons et même avec ton tout petit zizi tu ne pourras pas faire grand chose soit les personnes dont aucun prince charmant n’a jamais voulu. Tu me diras avec un esprit prêt à gober toutes les poubelles idéologiques de la planète il paraît logique tu te farcisses les thons que personne n’aura jamais assaisonné. Et je peux te dire qu’en plus trouver une vierge avec tous tes dégénérés de frères abrutis qui violent à tout va ne pouvant maîtriser leurs pulsions, et qui après les font lapider comme femmes infidèles pour ne pas avoir à avouer qu’ils les ont perforées par tous les orifices, ce n’est pas simple.
Ta vie est merdique, tu es pire qu’un animal car tu ne ressens que la peur et la tension ultime qui résulte de la grande différence entre tes aspirations et la réalité. 
Alors comme a priori tu as réussi à lire ces quelques lignes on va dire que tu fais parti du haut du panier. Bravo, bon aller on va complexifier tout ça et y mettre un peu de réflexion. Ah oui, le mot réflexion t’est inconnu. Bon et bien ça vient de quelque chose qu’on a dans la tête et qui permet de prendre des décisions et des options parfois bonnes pour tous. 
Alors cher futur terroriste, cher futur kidnappeur de mon fils ou violeur de ma fille, attention roulement de tambour, vous n’êtes pas les seuls à avoir vécu difficilement votre adolescence. La grande différence c’est que vous, vous restez au stade de gamine érectile qui ne prend pas sa vie ni ses décisions en main, et qui préfère qu’un grand gourou lui présente le plan de route tout prêt, d’autant plus si au bout du compte cela semble en valoir la chandelle. Un ado a, tour à tour, des pulsions envers sa prof, voudrait lui déchirer son chemisier et s’imagine lui faisant des choses peu avouables, et a d’un autre côté parfois envie de tuer tout ses camarades de classe mais ça en reste là, jeunesse se passe. Ces personnes qui vivent ces mêmes moments charnières en ont juste des plus grosses que toi. Ils prennent la vie et décident de la vivre et ne pensent pas une seconde à la oter à d’autres. Ces personnes ne sont pas faibles, elle sont extrêmement fortes et bien plus fortes que tu ne peux l’imaginer. Les morts du Bataclan sont devenus des héros et unifient les Français. Donc petite merde ton geste est voué à l’échec. Comme dirait un autre philosophe célèbre, “Tu ne le sais pas mais tu es déjà mort !”

mercredi 12 mai 2010

Marre des financiers

Je vais être clair et précis – j’en ai marre des ces financiers et de ce système et je ne parle pas ici de pâtisserie. Les disparités de richesse ne se sont jamais accrus aussi vite, les crises se succèdent sans qu’on ne voit d’éclaircies et tout ça par la faute de l’enrichissement incontrôlé d’une minorité de joueurs ayant la maturité et l’empathie d’un bigorneau. Je n’ai jamais été un grand fan de bigorneau c’est sans doute pour cela et fort injustement que je me permets de les apparenter à ces vilains ultimes.

Les pays se font maintenant attaquer et il n’y a plus qu’à attendre quelques mois pour que ces irresponsables reportent leur spéculation sur les matières premières, asphyxiant une nouvelles fois ceux qui n’ont rien demandé, les pays qu’on ne peut plus appeler en développement.

Les marchés financiers ne sont pas rassurés … et donc auraient été prêts à sacrifier la zone euro … tout ça parce que des analystes souhaitaient s’acheter de nouvelles villas au bord de la méditerranée.
Car bien entendu être riche ne suffit pas, il faut être le plus riche toujours courir après quelque chose que l’on a jamais de la sorte, un bonheur durable. Comment être heureux quand une décision prise en quelques clics engendre des émeutes de la faim ? Et bien en sniffant chaque matin son gramme de cocaïne, en roulant dans une Gallardo décapotable, en regardant l’heure sur une Richard Mille et en retrouvant sa femme la plus bonne, ancien top model asservi, retenue seulement par sa dépendance au luxe et à la drogue.

Moi je ne dis que Bravo. Vous allez me dire, mais voyons c’est n’importe quoi ce que vous racontez, une série de stéréotypes à deux PIB de la Grèce votre histoire, ça ne vaut rien. Tout à fait, ça ne vaut rien de vivre en détruisant pour finir seul. Du grand n’importe quoi comme la parution d’un livre par Jérôme Kerviel (que je n’ai pas lu donc que je ne critiquerai pas en tant que tel). Pour continuer dans la démago comme vous dîtes, Kerviel à volé – mais non c’est plus compliqué vous ne comprenez rien – je corrige, fait disparaître 5 milliards d’euros. Estimons que le sac d’une dame valle au mieux mille euros (sac compris avec l’iphone obligatoire, deux tubes de Dior au mieux, un portefeuille bien rempli), et que la condamnation pour une récidive soit de 3 mois de prison. Nous obtenons une peine, en imaginant une condamnation linéaire, de 1, 25 millions d’années d’enfermement --- et le voilà cheveux gominés à faire sa star, mettant son visage en grand sur la couverture de son livre … j’ai toujours eu un dégoût véhément pour les auteurs usant de ce stratagème marketing … ne me parlez pas d’Amélie Nothomb, à vomir, et justement une tombe j’en vois une à chacune de ses pages.

Revenons au sujet – à vos divagations vous voulez dire – soit, reprenons, le Gérard Majax sans humour de la finance souhaite donc nous fasciner. A vomir ça aussi. Et les autres, est-ce qu’ils ne vont pas nous gratifier de leurs immondices dans quelques années avec des titres du genre : Comment j’ai poussé la révolution des fonctionnaires au pays de l’olive ? Stratégie simple ou efficace pour faire disparaître 1 millions de personnes en charge de l’éducation et pour maîtriser plus simplement les masses, ou, Stratégie de la carotte, Comment j’ai réduit en deux clics toutes les prestations sociales de la zone euro ? A vomir, encore et toujours. Et dire que nous le valons bien, que nous laissons faire, que nous sommes de plus en plus des moutons brimés par des politiques collabos.

J’avais la naïveté de penser que ces êtres dépourvus de tout intérêt altruiste se rendraient compte que s’ils poussaient trop ça allait trop exploser pour leur permettre de s’enrichir d’avantage, et bien non. Encore plus immatures qu’un bigorneau comme je vous disai. Ils continuent, strangulent, lacèrent, privent, piquent les fesses d’un côté pour trépaner de l’autre. L’écartèlement gratuit, mais attention, grâce à ça vous aurez peut-être votre Ipad, pied-nu certes – du moins quand nous aurons arrête de faire travailler des enfants- les boyaux qui pendent mais connecté Monsieur. On n’éventre pas pour rien, nous sommes les garants du système, sans nous point d’économie, pas de – FAUX ! Au contraire, sans vous faux économistes et vrais despotes une réelle économie basée sur la valeur concrète des choses – ET qui prêtera ? – Et bien l’Etat avec des banques toutes publiques, un point c’est tout. Vivent les banques nationales, mort aux financiers.

Je me suis emporté, désolé, mais vous l’avez cherché. Mes yeux d’enfant ont bien changé, alors qu’avant je m’émerveillais à essayer de deviner s’il s’agissait d’une GTO ou Testa Rosa qui faisait vrombir avec arrogance son moteur, je n’ai plus qu’une envie, celle de lancer un gros pavé, comme si dans mon esprit il n’y avait plus de réussite honnête possible. Vous avez tué l’esprit d’entreprise avec celui d’entreprendre pour le profit du désapprendre à vivre ensemble, allez quelques millions d’années à purger au gniouf et on en reparle.

dimanche 1 juin 2008

Deux billets pour rien

Quelques mots pour reprendre le billet d’humeur précédent qui traitait de la difficulté que j’ai eu à prévoir et réserver un déplacement paraissant simple à la base. Certains douteront évidemment de ma capacité à jouer et naviguer avec internet. Sur certains points je ne peux d’ailleurs que concéder que je ne suis pas né un ordinateur dans les pattes mais quand même pas très loin, ayant joué au premier Prince of Persia sur un vieil ordinateur avec l’écran monochrome. On va plutôt dire que j’appartiens à la génération analo-digitale. Ayant appris par la plume mais souvent associée au clavier. La dernière génération mixte. On parlait de certains auteurs comme les derniers des romantiques, la génération Y (naissance aux alentours des années 1980, voir concept dans le message Pros and Cons) est semble t-il la dernière génération analogique. Là n’est pas le sujet de ce coup de gueule une nouvelle fois contre les marchands de caravanes. Le billet miraculeusement bouclé, un ennui personnel et familial grave m’a contraint à devoir annuler ce voyage ainsi que les deux billets d’avion payés par internet sur le site de la société belge SN Brussels Airlines pour lui faire de la bonne pub, , et pour lesquels chose rare et même unique, succombant souvent au stress que peuvent engendrer les nombreuses menaces extérieures, pris d’un courage téméraire je m’étais dis, c’est assez cher je ne vais pas encore payer des assurances qui ne me servent jamais. Et pourtant me voici bien piégé, loi de Murphy oblige : « Monsieur vos billets sont restrictifs ». Ces mots sont durs et prononcés avec un accent flamand à couper au couteau. Accent qui me fait quelques fois pester, en bon expatrié. Quand on a toutes les raisons de haïr c’est sur les aspérités d’autrui qu’on accroche et qu’on appuie. « Et en plus il était noir », ne l’a-t-on pas entendu ou même dit, avec un humour honnête ou douteux. Et bien là, en plus il était flamand et ne connaissait que ce mot, restrictif, restrictif, restrictif. Ils le sont bien souvent, restrictifs.
Quand je lui ai exposé mon problème j’espérais que le comique de la situation allait l’amener à me dire que mon problème lui aussi était restrictif, mais son humanité prenant le dessus, il consentit à changer pour, « ah oui … c’est embêtant ». Il ne pouvait bien entendu rien faire. Argent perdu, un centième de cout écologique pour la planète pour rien, pas grand-chose mais en tout cas pour rien, et tout ça pour arriver à des pseudos rentabilités, pour qui ?
Ne désespérant pas de voir poindre une justice terrienne, je me renseigne et apprends qu’une carte Visa ne vaut rien dans ces cas là, qu’il faut avoir la Visa premier, la Gold. Pas assez d’argent pour qu’on vous rembourse monsieur. Message d’amour et de solidarité …